Transportées aux urgences de l’hôpital de Strasbourg pour un malaise, Angèle Lieby commence à avoir des difficultés à s’exprimer, puis perd connaissance. On la plonge dans un coma artificiel pour l’intuber.

Le quatrième jour, elle ne se réveille pas. Or Angèle est consciente et souffre sans pouvoir réagir. Pour le personnel médical, elle est très vite considérée comme morte. Le miracle: une larme.

Le 25 juillet, jour de l’anniversaire de son mariage, sa fille aperçoit une larme au coin de son œil. Elle avertit le personnel médical qui rétorque que c’est impossible.

Puis Angèle bouge le petit doigt. Commence alors une longue période de rééducation qui va durer presque un an. Un cas exceptionnel pour la science.

La maladie d’Angèle est le syndrome de Bickerstaff. Il peut se déclencher après une infection aussi commune qu’une rhinopharyngiteà Son cas est exceptionnel pour la science. Il fait l’objet de présentations dans divers congrès de médecine et de recherches.



Autre résumé Editions LES ARENES
La veille du 14 juillet, Angèle Lieby se rend aux urgences d'un hôpital de Strasbourg pour une mauvaise migraine. Son état s'aggrave et on doit la plonger dans un coma artificiel.

Quelques jours plus tard, les médecins n'arrivent pas à la réveiller : malgré toutes les stimulations, Angèle ne montre aucun signe de vie. "Il faut la débrancher !" finit-on par dire à son mari.

Pourtant, le jour anniversaire de son mariage, sa fille voit une larme perler au coin de sa paupière. Angèle est non seulement vivante, mais parfaitement consciente. Et ce depuis le premier jour.

Elle raconte ici son expérience hors du commun, celle d'une femme enfermée dans son propre corps, qui entendait tout, ressentait tout, sans pouvoir réagir. Une incroyable leçon de vie, d'amour et de courage.

Angèle Lieby vit près de strasbourg. Emu par son histoire, Hervé de Chalendar, journaliste à L'Alsace, a écrit ce livre avec elle.

Propose trente recettes variées et tendance, aux ingrédients aisés à se procurer, accompagnées de photos complémentaires au déroulement de la préparation.

Propose des recettes de lasagnes en entrées, en plats, en dessert, à base de viande, de poisson, de légumes, ou au chocolat.

Cet ouvrage, véritable hymne à la vie, met en scène les multiples ressources et recettes dont nous disposons tou(te)s pour mieux vivre nos journées. Françoise Réveillet nous initie à l'art de la micro-sieste, aux massages, à des exercices énergétiques, nous aide à voir le bon côté des choses, à soigner notre environnement... tout en veillant à ce que ces attentions ne nous prennent pas plus de 10 minutes par jour. Ses conseils sont classés par périodes de la journée ou par situation, que vous soyez au travail, à la maison, en couple ou en vacances... Un livre pour se sentir mieux dans sa tête, mieux dans son corps et surtout mieux dans sa vie !

Le Général Compagnon naît au milieu de la Première Guerre mondiale. Il vit sa jeunesse dans " l'après-guerre ". Entré dans l'armée en 1934, il y passe ses premières années dans " l'avant-guerre ". De 1939 à 1962, époque où l'Armée française est, sans interruption, en guerre, il participe, dans la troupe, à ses divers engagements : France 1939-1940, Tunisie 1942-43, Libération, Allemagne, Indochine, Algérie. Pendant la guerre froide, il occupe des postes internationaux, à Londres et à Washington. II termine sa carrière militaire dans des commandements en France: 2e Brigade Blindée, 11e Division Parachutiste et Région Ouest de la France. Rendu à la vie civile en 1976, il remplit des fonctions très diverses : formation continue en entreprise, journalisme et médias, publications d'articles et de livres dont l'un reçoit le prix " Maréchal Foch " de l'Académie Française, conférences dans les lycées et collèges, enfin, bénévolats divers dont la présidence de trois associations aux effectifs importants. Il est Grand-Croix de la Légion d'Honneur.
" Ce testament traduit ce en quoi le Général a cru sa vie entière. Il témoigne d'une recherche constante du bien dans une vie totalement donnée à la réflexion et à l'action. Le Général Compagnon nous transmet cette foi personnelle, traduite dans sa vie religieuse, dans le service de son pays et de son armée, dans l'amour et le respect de sa famille. Chacun pourra y trouver le ferment nécessaire à l'oeuvre qu'à son tour il veut accomplir."
Général Henri d'Hérouvill